Le petit-fils du maire républicain d’un petit village du Bas-Aragon durant la Guerre civile espagnole retrouve à Toulouse Joaquin Monreal, anarcho-syndicaliste, qui militait à la CNT dans le village.
El Negret, comme ils l’appellent, participait en 1936 dans ce village, au sein d’un Comité antifasciste et révolutionnaire, à la mise en oeuvre d’une collectivité, avec salaire familial, suppression de la monnaie et abolition des titres de propriété.
Comment fonctionnait cette collectivité ? Que s’est-il passé dans le village durant la Guerre civile ? Qui était le grand-père, devenu communiste ?
En Espagne, entre ombre et lumière, dans la paix et le silence, le village suit inexorablement le cours de son histoire. Mais le souvenir du Negret y est encore présent à l’instar des traces des événements tragiques qui s’y sont déroulés, il y a plus de soixante-dix ans.